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Histoire de la médecine en Egypte ancienne

INFECTIOLOGIE - III

Article complet - mardi 10 juin 2014 :

L'INFECTIOLOGIE - III - Génération (les asticots)

Plusieurs articles à suivre

 

Fig

 

  • Richard-Alain JEAN, « Infectiologie (3). La notion parasitaire en Égypte ancienne (3), les mouches et leurs larves (2), génération », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 10 juin 2014.

 

 


 

 

 

 

 

 

INFECTIOLOGIE (3)

LA NOTION PARASITAIRE EN ÉGYPTE ANCIENNE (3)

LES MOUCHES ET LEURS LARVES (2)

GÉNÉRATION

 

Richard-Alain JEAN

 

 

 

 

         1. Les larves de mouches

 

         Les Égyptiens avaient très probablement déjà entrevu une autre solution que « la génération spontanée ». Et ceci, ne serait-ce que pour des raisons politiques car le chef devait assumer la « protection des hommes » par le bais de « l’équilibre du monde » au moyen des théologies sécrétées dès l’aube des temps dynastiques. Je ne retiendrai ici pour l’exemple que deux très courts extraits des grands hymnes à Amon et à Aton, plus un passage mortuaire. Le but des deux premiers consiste à glorifier le dieu, en indiquant quel était sa « charge », et donc celle du souverain régnant, son véritable reflet sur terre. Le but du dernier document est de « pérenniser » l’action du dieu dans l’homme.

 

 


 

 

2

 

Ainsi, la divinité créait « l’œuf » de tout être et sa puissance s’étendait sur tout son devenir. Sans ce « passage obligatoire » et dirigé dans sa « chambre de création » (l’œuf), l’être désormais « organisé » par les soins divins aurait échappé à sa volonté, et donc par suite, à l’assujettissement au pouvoir temporel pharaonique. Cette contrainte du pouvoir semble se diluer plus tard dans un hymne biblique de louange (Psaume 148), où le dieu des hébreux est bien compris comme le « Créateur de toute choses » [1], certes, et selon la tradition « chacun selon son espèce » (Genèse 1, 20-25), mais où la « chambre de création » est cette fois étendue à la totalité du monde où retenti la « Parole » créatrice de la Genèse. Ce « flou artistique » soigneusement entretenu par les rédacteurs, libère des « jougs » temporels et royaux, tout en conservant adroitement une dépendance spirituelle qui va bientôt supplanter toutes les autres avec le judaïsme, puis le christianisme. Il faudra ensuite bien des acrobaties scripturaires postérieures pour rétablir toute « fonction royale » afin de légitimer les personnages dominants. Cependant, dans les textes, ces derniers n’interviendront plus jamais dans la « prime fonction créatrice », ni à propos de son « endroit de résolution » (l’œuf, la matrice), ce qui aurait dû normalement laisser libre cours aux idées, sauf, si celles-ci étaient considérées, même à tort, comme capables de gêner les pouvoirs qui voulaient se réclamer de « droit divin » [2]. Aussi, plusieurs se risquèrent tout de même à s’immiscer au « cœur de l’invisible » confondu avec un « endroit de création » mais encore obscur à la vue des hommes s’agissant de « l’infiniment petit ». Cette tentation est bien naturelle dans la mesure où elle vise à combler un « vide biologique ». Seulement, elle perd notablement de sa force quand elle parvient  à combler un « vide juridique » remplacé par une « idée dominante » favorisée par une conception théologale avide de « récupérer l’espace divin disponible » discerné, à propos de, imperceptible à l’œil nu, l’éclosion de la vie. Comme ici n’est pas le lieu d’approfondir cette étude, je renvoie le lecteur aux très nombreux ouvrages historiques traitant de la « génération spontanée ». Revenons à nos textes égyptiens.

 

        Grand hymne à Amon-Rê : Papyrus Boulaq 17 (CG 58038) [3], VI

p

        2c  Forme Unique, créateur de tout 3a ce qui existe,

        3b  Un qui demeure l’Unique, créateur des êtres …

 

 


 

 

3

 

p

  

        4d  … Il fait ce dont vivent les poissons 5a du fleuve

        5b  et les oiseaux du ciel

        5c  Il donne le souffle à ce qui est dans l’œuf,

        5d  (Il) vivifie le (moindre) des vermisseaux  (a),

        5e  (Il) fait ce dont vivent 6a les mouches

        6b  ainsi que les vers et les puces,

        6c  (Il) fait ce dont les souris ont besoin dans leurs trous

        7b  Et (il) vivifie la gent ailée sur tout arbre.

  

p

 

 


 

 4

 

         Exemples pris dans les textes médicaux :

         Animal entier

p

p

         Partie de l’animal

p

 

 


 

5

 

p

 

         Commentaire. — Dans ce texte, le dieu est compris comme « Le » responsable de la perpétuation de la vie animale sous toutes ses formes à partir de la « notion d’éclosion » symbolisée par la maturation de « tout œuf en général ». Tout se passe comme si l’œuf représentait la « matrice générique » de tout être. Ceci semble correspondre à une biothéologie génératrice à l’image de laquelle se rattache la conception royale issue du faucon sacré. À charge des divinités à cornes comme Knoum de pétrir justement ce « gamète », puis, de mener à bien sa gestation et sa renaissance sous la protection des formes hathoriques. En effet, l’œuf restera le modèle idéal de maturation, même pour l’homme en l’utérus féminin [5]. Ainsi, la volonté du « Créateur » s’étend-elle du « (moindre) des vermisseaux » au « Poussin divin », qui, à son tour, est chargé de « maintenir le monde », à la façon du processus mystérieux de sa formation interne qui en récapitulait la venue dans sa coquille protectrice destinée à se briser en offrant la vie :

 

         Grand hymne à Aton [6] V, 49 (col. 7) - 60a

 

p

  

 


 

6

 

         ‘Nourrice’ dans les ventres (toi) qui donnes le souffle,

         En raison de faire vivre tout ce qu’il tient à créer :

         Lorsque du ventre (même) il sort pour respirer,

         […] (au) jour de sa naissance,

         Tu veux alors (lui) ouvrir utilement sa bouche.

         Ainsi comme tu veux créer son nécessaire,

         L’oisillon encore dans l’œuf, pépiant dans la coquille,

         Tu lui donnes le souffle afin de l’y faire vivre.

         Tu as fixé pour lui une maturité,

         Pour briser la coquille étant encore dans l’œuf,

         Qu’il sorte pour caqueter complètement formé,

         Et aille sur ses pattes dès l’instant qu’il en sort.

 

         Commentaire. — Ce fragment décrit bien l’action du « Verbe », par exemple ailleurs du « Grand caqueteur » hermopolitain donnant l’œuf d’où serait né le soleil – « Démiurge », comparable à l’oie d’Amon, et finalement à toute « Unité créatrice » quel que soit son nom, selon la tradition dont elle est originaire, ici bien entendu, atonienne, mais issue du même contexte égyptien solaire. Le « maniement opérationnel » du souffle restera une prérogative ultra divine, même si une certaine magie prétendra se l’approprier un peu par « l’art du maniement de la formule » accompagné de rites appropriés. Mais plus que de l’idée impérieuse de « création » qu’éprouvent ces divinités, se rattache dans cette portion de texte, où elle reste pourtant sous-jacente, la notion de « don du maintien de la vie » qui est représentée par le « Souffle » dispensé dès la « germination ». La « perpétuation de la vie » se trouve « générée » par la « Parole » qui devient « parole » transposée pour la « créature idéale ici ailée », par « pépier » puis osant à sa naissance « caqueter » par le passage du « souffle dans son gosier » dès l’origine imprimé. Pour cette raison, cette partie d’hymne peut être comparée à celle d’Amon cité juste avant : ce « souffle », issu du « Souffle » (Verbe) est proféré, avec la même intention, à « la moindre des créatures » si petite soit-elle et au nombre desquelles sont cités vers, mouches et autres animaux nuisibles comme encore les puces et les souris, nommées, et c’est intéressant, en raison de leur simplicité. Cette « humilité » dont doivent faire preuve ces animaux en raison, pour cette fois, de leur petite taille, n’exclut pas, nous le voyons bien, les ennuies qu’ils seront capables d’infliger à des créatures plus « importantes », à l’homme, au « Poussin pharaonique » lui-même, et ceci durant la vie terrestre, comme pendant le maintien corporel souhaité durant la deuxième gestation post mortem tant espérée. C’est bien le sens donné à la « vermine » décrite dans pBM 10081 cité plus haut. Ces « créatures minuscules » semblent bien pourtant avoir, en conclusion, le même « lieu commun d’origine dicté par le créateur », à savoir « toute forme d’œuf matriciel » et « endroit pour se transformer » et très probablement aucun autre moyen d’existence spontanée dont la « formulation » échapperait à « Celui » qui a voulu les « énoncer ». En ce sens, à mon avis, pour les Égyptiens, « toute forme naît d’une autre forme » (sous-entendue : « ordonnée » par le Créateur). Ainsi la grenouille doit provenir du têtard, le scarabée de sa larve, et la mouche de l’asticot.

  

 


 

 7

 

         À ce dernier égard, un fragment de papyrus prophylactique découvert dans la bouche d’une momie [7] reproduit un passage instructif d’un texte hiératique joliment intitulé : « Que mon nom fleurisse » [8]. En voici le passage :

 

         CG 58009 = pGizeh n° 18026, § IV,14a

p

         « Les vers en mouches ne se transformeront pas en toi »

    

p 

            Commentaire. — Cet extrait de texte magique a très probablement été placé à cet endroit anatomique et stratégique par un prêtre zélé [9], en complément rémanent du « rite de l’ouverture de la bouche », afin de protéger le mort de la décomposition des chairs productrices de vers nécrophages, phénomène naturel bien observé par les Anciens et qui voulaient s’en prémunir par le moyen de l’embaumement artificiel. Il y aurait aussi à cet endroit, assimilation du nécrophage avec l’asticot qui se transformera en mouche. Ces métamorphoses sont visibles à l’œil nu dans la chair humaine, animale, et même d’autres formes de « vers » comme les chenilles elles-mêmes parasitées. Ainsi, j’ai pu observer en Afrique Centrale, un petit enfant non scolarisé du fait de son lourd handicap, qui s’amusait beaucoup à cacher sous des demi-calebasses lutées, des chenilles éclatées d’asticots, pour en voir s’échapper ensuite une volée de mouches laissant une dépouille séchée et vidée de ses habitants. Sa réflexion était sans appel : « des mouches d’asticots », disait-il à la sœur infirmière, qui m’a assuré plus tard que ce jeu était de sa pure invention, et que sa bonne récupération mentale était encore pour elle un sujet d’émerveillement. Il n’y a selon moi aucune raison que les Égyptiens n’aient pas, dès les époques les plus anciennes, réalisé, dans un pays chaud où ce phénomène est constant, la même expérience. 

         On sait par d’autres textes que des maladies peuvent être envoyées par un mort, une morte, et qu’ainsi le vivant est à même de rejoindre de cette façon un processus identique d’infestation ostensible dans une plaie ouverte, que l’on devine sous la peau avant son extraction, ou diffus dans d’autres infections. Le lien avec le mal est fait, les « mauvais vers » [10] installant la maladie, susceptible d’être mortelle.

 

 


  

8

 

         En ce qui concerne la reproduction dans les corps inertes, les diptères, grâce à leur capacité à repérer un cadavre sur de longues distances, colonisent celui-ci dans les quelques minutes après la mort. Après une minutieuse inspection du défunt, les mouches femelles commencent à pondre au niveau des ouvertures naturelles ou de plaies éventuelles. En quelques heures, ces œufs donnent naissance à de minuscules larves qui débutent leur cycle. Après trois stades larvaires successifs, les larves matures cessent de se nourrir et, dans la majeure partie des cas, quittent le cadavre pour se nymphoser pas loin de celui-ci. Lors de cette phase, les muscles longitudinaux de l’asticot se contractent, la cuticule externe durcit donnant l’apparence d’un petit tonnelet rigide brun-rougeâtre (puparium), dans lequel l’insecte adulte (imago) se métamorphose. Ce sont ces puparia que l’on retrouve associés aux momies [11]. En effet, ces organismes très sclérifiés se conservent parfois des milliers d’années, voire plus. Contrairement à l’entomologiste médico-légal qui va principalement utiliser les larves vivantes prélevées sur les cadavres, ils sont souvent les seuls témoins fossiles utilisables par l’archéo-entomologiste.

            Cette colonisation peut également survenir à l’insu d’un patient qui aura négligé une blessure ouverte à l’air libre. Voici ce que découvrit, sur un vivant, un médecin égyptien :

 

            pEbers 617. 78, 6-10 = p. Hearst 174. 12, 1-3

p

  

 


 

9

 

           6      Si tu constates qu’un doigt ou un orteil sont douloureux,

           7b  du pus les entoure,

           7d  leur odeur étant mauvaise,

           7e   et alors qu’ils produisent des asticots (a),

           8b  tu devras dire à ce sujet : « C’est un mal que je peux traiter ».

           8c   Tu devras lui préparer les traitements pour tuer les asticots (b) …

 

p

            À noter, zp3 le scolopendre et le dieu Zp3, un dieu mille-pattes.

p

 

p

 

 


 

10

 

            Commentaire. — Ces textes médicaux désignent très probablement des larves capables d’absorber des éléments nécrotiques dans des plaies des extrémités. Il s’agit donc de colonisations par des « asticots » (fig. 9) [12]. Toute autre partie du corps peut être atteinte de la même façon (fig. 10) [13], mais statistiquement, les autres vers susceptibles de se développer le font à d’autres endroits. En effet, il existe d’autres textes comme ceux du pMLondres (30. 11, 2-3, et, 55. 15, 8-10 ) et du pRamesseum (IV E I, 2-3) où le mot fn est employé, dont un citant à la fois sp et fn(pMLondres 14. 5,1 -6,1), cependant, ces passages peuvent concerner encore d’autres parasites que ceux apportés par des mouches pondeuses dans une plaie ouverte.

            En ce qui concerne les textes mortuaires (Pyr. Sp. 291 § 432 a,b ; CT VII, 437 f,c …), les mots sont susceptibles aussi bien recouvrir des asticots naissant par exemple dans des plaies de guerre vues sur des cadavres de soldats, dans des lacérations infligées par des animaux à des morts trouvés abandonnés à la campagne, dans des parties éclatées de cadavres plus avancés d’hommes ou d’animaux portés à l’embaumement, ou bien, tout autre larve à tous les stades nécrophages [14]. Ils rejoignent la problématique de sauvegarde des chairs du défunt résumée dans le pGizeh cité plus haut.

Il est à noter que dans les textes de transformation, il est compris, que « les mouches sont en ‘rapport de renaissance (3ḫ litt. Bienheureuse, et donc en rapport avec la naissance initiale)’ avec les asticots produits (par les chairs mortes) de son père » (3~ʿff.w m fnṯ.w jt=k) (CT IV, Sp. 330 § 166e).

 

 

p

 

  

p

 

  


 

[1] En hébreu, le verbe « bara », créer, ne s’applique qu’au Dieu de la Bible.

[2] Voir encore aujourd’hui les incessantes attaques de certains groupes ou même corps politiques se croyant dépositaires, « de droit divin », de vieilles conceptions religieuses violemment opposées aux progrès scientifiques débouchant sur une quelconque modification de la génération humaine (planning familial, moyens de contraception, préservatifs prophylactiques ; FIV, GPA …).

[3] A. Mariette, Les Papyrus égyptiens du Musée de Boulaq, Paris 1872-1877, II, pl. 11-13 (pl. 12, VIII, 6-7) ; é. Grébaut, Hymne à Ammon-Ra. Paris, 1874, pl. VI § XV p. 16 à 18 ; A. Barucq, F. Daumas, Hymnes et prières de l’égypte ancienne, Paris, 1980, p. 197 ; M. M. Luiselli, Der Amun-Re Hymnus des P. Boulaq 17 (P. Kairo CG 58038), Wiesbaden, 2004. Voir aussi pour comparaison : J. Zandee, De Hymnen aan Amon van Papyrus Leiden I 350, Brill, 1948.

[5] Voir par exemple : Jean, Loyrette, 2001, 1.3.3. Embryologie, p. 560-561.

[6] Voir par exemple : P. Grandet, Hymne de la religion d’Aton, Paris, 1995, p. 108-109 (avec le texte hiéroglyphique).

[7] B. Greenberg, « Flies as forensic indicators », J. Med. Entomol., 28, 1991, p. 565-577.

[8] J. D. C. Lieblein, Le livre égyptien Que mon nom fleurisse. S.12-16, Papyrus hiératique, Nr.18026, Hieroglyphische Umschrift, XVII-XXIV, Leipzig, 1895, p. 15 et pl. 22.

[9] Cet acte étant inhabituel (le défunt faisait-il partie de la famille de l’officiant ?).

[10] Pour les « bons vers » et les « mauvais vers », voir : R.-A. Jean, « La déesse Séchât, le bois silicifié, et la “ résurrection de la chair ” », dans Hommages à Madame Christiane Desroches Noblecourt - Memnonia, XXII,  Christian Leblanc (éd.), Le Caire - Paris, 2011, p. 199-214.

[11] Voir par exemple : J.-B. Huchet, dans Is. Cartron, D. Castex, M. Charageat, P. Georges, M. Vivas (éd.), « Des momies, des insectes… L’apport de l’entomologie à l’étude des pratiques funéraires dans l’Égypte ancienne », De corps en corps. Traitement et devenir du cadavre, Publications de la Maison des sciences de l'homme d'Aquitaine, Bordeaux, 2010, p. 33-55.

[12] Pour un film vidéo montrant des extrémités humaines attaquées par des asticots voir par exemple : http://www.youtube.com/watch?v=_DH64F7YVGM.

Pour la tête : https://www.youtube.com/watch?v=RVP7BTHkq9g.

[13] Voir encore pour une cavité buccale où se sont logés des asticots : http://www.youtube.com/watch?v=wfNbo--EqXo.

[14] Voir par exemple : A. MACKE, Ch. MACKE-RIBET, « Intérêt de l’entomologie pour préciser le déroulement de l’embaumement en Égypte ancienne ou la médecine légale au secours d’Hérodote », Journal de médecine légale droit médical, vol. 37, n° 7-8, 1994, p. 495-503.

 

 


 

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