OBSTETRIQUE - XXXVI
Article complet du lundi 29 juillet 2019 :
CLINIQUE OBSTETRICALE - XXXVI
• Richard-Alain JEAN, Anne-Marie LOYRETTE, « Clinique obstétricale égyptienne – XXXVI . Les accouchements divins, royaux, et humains (2) L’architecture réceptrice. L’iconographie et les représentations (2). Atlas (1) », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 29 juillet 2019.
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CLINIQUE OBSTÉTRICALE ÉGYPTIENNE - XXXVI
LES ACCOUCHEMENTS DIVINS, ROYAUX,
ET HUMAINS (2)
L’ARCHITECTURE RÉCEPTRICE
L’ICONOGRAPHIE ET LES REPRÉSENTATIONS (2)
ATLAS - I
Richard-Alain JEAN
Anne-Marie LOYRETTE
Faisant suite à l’article précédent : Richard-Alain Jean, Anne-Marie Loyrette, « Clinique obstétricale égyptienne – XXXV . Les accouchements divins, royaux, et humains (1) L’architecture réceptrice. L’iconographie et les représentations (1) Les mammisis », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 8 juin 2019, cette partie traitera du « Lit votif », et des signes hiéroglyphiques gravés, peints, ou cursifs, symbolisant la mère accouchant de son enfant. Nous avons ajouté en complément un « Atlas » comparatif des principales sources étrangères puisées en Europe, au Moyen Orient, en Afrique, et en Amérique, afin de montrer que ce sujet maternel était bien représenté dans l’art, et donc dans les préoccupations humaines jugées dangereuses, et ceci, à toutes les époques anciennes depuis les représentations pariétales préhistoriques, jusqu’aux sculptures antiques les plus raffinées.
Cette étude démontre déjà que les attitudes et les postures adoptées pour cette opération naturelle dans le monde sont très variables. Elles vont en effet de la position debout, à celles assises, accroupies droite ou genu-pectorale, et encore bien entendu en situations de décubitus dorsal ou latéral. Nous reparlerons de tous ces aspects à propos de l’Égypte et de l’antiquité.
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1. Le lit votif
L’environnement matériel immédiat du couple en désir d’enfant était doublé d’un espace religieux privé virtuel à toutes les époques [1], et sans laraire. De plus, à Deir el-Medineh, cet univers mental était augmenté d’une structure maçonnée et embellie aux couleurs de la bonne venue au monde ardemment souhaitée (Fig. 2-7 et 9).
Nous avons déjà parlé [2] au tout début et à propos de l’environnement végétal, du « lit clos » ou support votif de la fertilité et de naissance situé dans la première pièce des maisons du village des artisans. Cet endroit particulier restreint ressemble à une fausse pièce réduite, à un couloir tronqué et ouvrant par une embrasure à laquelle l’on ne peut accéder que par l’intermédiaire de quelques marches souvent étroites et dangereuses, même pour un pied menu. Sans son décor si spécifique, il serait facile de lui attribuer un rôle de garde-manger, ou encore de placard à la façon d’une niche protégée.
série de scènes joyeuses convenues et végétalisées devant favoriser une bonne naissance [3] (Fig. 10-13), un peu comme une sorte de mammisi privé, et auquel on accorde moins de protocole mais autant de signes divins dédiés. En effet, ce lieu spécialisé en cet endroit singulier au sein de chaque demeure, correspondait, comme nous l’avons déjà indiqué, à un privilège accordé aux « ouvriers de la tombe » du pharaon régnant. À notre avis, ce site établissait en fait, un lien votif, entre un lieu de première naissance de tout à chacun, et, la demeure d’éternité où était espérée la deuxième naissance royale, que le souverain condescendait, avec les dieux concernés, à accorder nommément à ses serviteurs justifiés, et par suite, qui se manifestait déjà pour les employés, dès le moment de la première naissance de leurs propres enfants. Ce double enchaînement liait à jamais le destin mortuaire du roi à celui des récipiendaires qui le serviraient alors ainsi, même outre-tombe, un peu comme était supposée le faire une armée d’ouchebtis – à ceci près, que ces personnes spécialisées, dans leur deuxième vie, devaient probablement rester chargé de l’entretien du tombeau éternel, tout en bénéficiant aussi, du même environnement riche et verdoyant. Cette dynamique gagnant-gagnant devait certes encourager les travailleurs à produire le meilleur d’eux-mêmes. Ces croyances entraînaient en effet, une double action, votive, et pratique, sur la première comme sur la deuxième naissance. Nous comprenons ainsi que la première vision de cet établissement privilégié, était bien dans un premier temps tout pragmatique : créer la paix sociale. Il s’agit donc d’un acte politique. Puis, il était dans un deuxième temps, support religieux, de l’ici-bas immédiat, comme de l’au-delà.
Il est donc hors de doute que cette petite construction ajoutée, enrichie de fresques religieuses spécifiques, fonctionnait comme une petite chapelle cultuelle permanente avec manifestations rituelles aux temps venus, et accueillait en son sein les représentations divines dont nous avons déjà beaucoup parlé. Et ceci, tout au long de l’année avec l’usage des objets votifs privés de maternité tant espérée, avec un plateau supérieur durant la grossesse, et un pic au moment de l’accouchement, pour retrouver un plateau inférieur durant les relevailles et l’allaitement, avant de se re-stabiliser ensuite pour ne devoir conserver que les objets appartenant au couple. Il faut ici noter qu’aux objets religieux privés habituels, s’ajoutaient en leurs temps convenus, d’autres objets magiques apportés par les acteurs professionnels.
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La maîtresse de maison devait être la première servante de ce petit sanctuaire particulier, aidée et relayée ensuite par les spécialistes chargés de surveiller la gestation, y compris en commençant à disposer sur le sol de ce lieu exhaussé, et sur une natte, les ivoires magiques de naissance dès avant terme, accompagnés d’autres instruments de naissance, afin de les « consacrer » à cet heureux événement personnalisé, puis de les utiliser enfin dans la geste obstétricale, soit comme nous l’avons déjà dit, d’une manière diagnostique et pronostique devant techniquement influencer les décisions à prendre par le responsable des intervenants, avec à la suite impositions des bonnes spatules, ou autres instruments plus contendants ou coupants, afin que l’opérateur principal s’en saisisse au dernier moment. Également devaient être apportées d’autres aides nécessaires à cette opération maïeutique. Ainsi, parmi les matériels et médicaments ainsi rassemblés, devait se trouver : des linges fins et propres, des lacs prévisionnels, des antiseptiques que nous avons plusieurs fois évoqués, et la flamme détenue par Béset que l’on voit figurée sur des stèles (Louvre E 11138 = Fig. 8) [4]. Cette dernière peut servir de moyen de purification, c’est-à-dire, de stérilisation des instruments métalliques, voir certains modèles de spatules en ivoire, qui, nous le verrons, ont une utilité chirurgicale. En pratique, la flamme devait être maintenue dans une lampe-coupelle, ou voir un braséro. Au total, ce « reposoir votif », autant « qu’autel occasionnel » jouait donc à la fois le rôle de « chapelle-tabernacle », mais aussi, de « pharmacie appliquée à la maternité », ce qui est bien utile dans un couple attendant une nombreuse famille.
Nous reparlerons de ce lieu à propos de l’accouchement même, mais d’une façon annexe, car nous reprécisons ici qu’en aucune manière cet endroit pouvait servir de salle de naissance, sinon d’une façon préparatoire religieuse et magique. Cela nous fait penser aux laboratoires des temples et aux bibliothèques, qui étaient eux-mêmes complémentaires des lieux même où se pratiquaient les différents cultes. Dans ces laboratoires étaient localement élaborés les composés utilisés à partir des substances stockées en fonction des indications contenues dans les ouvrages conservés dans les bibliothèques. Les ivoires obstétricaux apportés temporairement, et disposés sur la « banquette chapelle » que formait cet ouvrage maçonné, comportaient comme nous l’avons déjà indiqué, des renseignements cryptés que comprenaient les décideurs médicaux, qui à la vue du déroulement du travail, conseillaient ou pratiquaient les actes chirurgicaux à produire en fonction du contenu de ces espèces de plaquettes-vadémécum, moins fragiles et plus concises que les papyrus.
Les raisons pour lesquelles cet endroit restreint ne pouvait pas servir de table d’accouchement est simple. Cette fraction de place – si elle recouvre pourtant la taille idéale allongée et la surélévation bien utile à la pratique – représente pourtant une banquette renfermée sur ses quatre côtés, et à peine si une ouverture haute réduite y permettrait un accès malhabile. La parturiente qui s’y retrouverait allongée serait contrainte de s’y tenir toute contenue – certes comme elle-même dans une matrice divine ouverte – mais confinée, sans air, et sans aucune possibilité de mouvement (Fig. 6 et 13 ter). Pour des raisons anatomiques évidentes, le bassin se trouve en effet quasiment enfermé, les articulations coxofémorales inopérantes, car seule l’une d’elles serait partiellement opérationnelle. Même avec un coussin inférieur sous les fesses, l’ouverture correcte libérant la vulve est rendue impossible. Les poussées abdominales seraient également contrariées par une situation demandant une position demi-assise épuisante. Seule une dernière rotation, les pieds en dehors, permettrait au dernier moment une expulsion de l’enfant. On imagine quels efforts et quelle gymnastique cela représenterait (!) De plus, la femme devrait exécuter toutes ces actions sans aide. Il est en effet impossible de faire figurer aucune autre personne et sous aucun angle dans cette configuration réduite à l’extrême, sauf peut-être à la fin pour une seule sage-femme, au moment où la mère devrait écarter une dernière fois les cuisses, le coccyx en mauvais équilibre sur la deuxième marche de ce petit édifice, et les deux pieds posés par terre de chaque côté de ces marches … Les dangers sont patents pour la mère et pour l’enfant, et que dire des manipulations et démarches thérapeutiques impossibles à engager dans les cas compliqués, du fait de ce qui représenterait le maintien de cette désastreuse condition. Ainsi, il est plus logique, après étude médicale circonstanciée et in situ [5], de proposer une utilisation fictive pour la future mère, comme par exemple en s’y allongeant avant et au début d’une grossesse, afin d’associer les divinités à l’espoir, à la progression, et à l’aboutissement de chaque naissance.
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2. Les signes hiéroglyphiques
27-31) [17]. Le ventre est montré libéré, ou encore rebondi (Fig. 19). Encore pour les différentes formes principales aux périodes classiques, seule la tête et les bras de l’enfant sont le plus habituellement figurés émergeant du bas du signe maternel. Mais pour les périodes tardives comme à Esna (§ 72) [18] et à Kôm Ombo (Fig. 31 a-d), le cou, les épaules, et le haut du buste sont visibles. Voir encore à Philæ et à Tôd, où seuls, le cou, et une partie des épaules, sont visibles [19]. Il s’agira donc de toujours montrer une présentation céphalique, dont la progression est plus importante dans les derniers signes historiques.
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3. Égypte romaine
Cette plaquette accompagnant la momie d’une enfant de cinq ans, correspond à une prophylaxie souhaitant une « bonne mort » en lui procurant à la suite de cet accident précoce, une résurrection fidèle à sa première naissance, puis la réalisation dans l’au-delà de son destin de femme, c’est à dire de se marier et d’être mère [20].
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4. ATLAS (1), autres accouchements
Voir aussi pour comparaisons :
4.1. Préhistoire
4.1.1. France
4.1.2. Afrique
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4.2. Antiquité
4.2.1. Turquie
4.2.2. Mésopotamie
14
4.2.3. Étrurie
4.2.4. Luristan
15
4.2.5. Phénicie
4.2.6. Chypre
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4.2.7. Grèce
4.2.8. Rome [21]
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4.3. Europe chrétienne
4.3.1. Bretagne
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4.3.2 Moyen Âge
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4.3.3. XVIIe
4.3.4. XVIIIe-XIXe
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4.4. Monde Musulman
4.4.1. Iraq
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4.4.2. Empire Ottoman
4.4.3. Perse
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4.5. Amérique
4.5.1. Amérique du Nord
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4.5.2. Brésil précolombien
4.5.3. Mexique
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4.5.4. Pérou, Équateur précolombiens
[1] L’espace religieux privé virtuel en Égypte, où, aux époques pharaoniques il n’existait pas de laraire comme dans l’antiquité romaine, correspondait à la réunion mentale d’autant de signes concrétisés par autant d’objets dispersés dans l’habitation familiale. Et ceci, un peu à la façon des crucifix ou des statuettes de la Vierges Marie disposés encore parfois de nos jours dans les domiciles des particuliers croyants.
[2] R.-A. Jean, A.-M. Loyrette, « Clinique obstétricale égyptienne – XXVI . L’enfant à naître (6) L’environnement de la naissance (1) Les objets de la naissance », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 25 février 2019, p. 3-4.
[3] J. Vandier d’Abbadie, « Une fresque civilede Deir el Médineh », Revue d'Égyptologie, III, 1938, p. 26-35, et pl. III en fin de volume ; B. Bruyère, « Un fragment de fresque de Deir el Médineh », Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale, 22, 1923, p. 121-133 ; — Rapport sur les fouilles de Deir el Médineh, 1934-1935. Troisième partie. Le village, les décharges publiques, la station de repos du col de la Vallée des Rois, Fouilles de l’Institut français d’archéologie orientale, 16, 1939, p. 54-65. Voir encore : M.-L. Brooker, A new approach of identifying the function of the elevated beds at Deir el-Medina, Thesis, University of Birmingham, June 2009, et où l’auteur fait un lien avec les « Garden Altars Constructed at Amarna » (p. 111- 132, pl. 29 p. 168).
[4] R.-A. Jean, A.-M. Loyrette, op.cit. 2010, p. 459 et fig. 103.
[5] Nous avons en effet convié une femme enceinte multipare de huit mois mesurant 1 m 62 à tenter d’investir cette place, et s’imaginer à y préparer son accouchement. Elle a pensé que cela était impossible pour elle. Nous confirmons ce fait après avoir essayé de mimer sur elle les gestes essentiels, d’abord anatomique, de surveillance, et d’accouchement physiologique, et ceci, dans deux situations : en dedans sans aide, et en situation externe sur marches avec une aide, ou deux aides. Dans cette situation, nous avons constaté que la démarche normale n’est pas envisageable, car les gestes thérapeutiques et de sauvegarde seraient empêchés. Nous remercions encore vivement à cette occasion Fawzia de s’être prêtée à cette expérience sportive « et en souplesse ».
[6] N. Grimal, J. Hallof, D. van der Plas, Hieroglyphica - Sign List, Utrecht - Paris, 2000, 1 B-1.
[7] Fr. Daumas et coll. Valeurs phonétiques des signes hiéroglyphiques d’époque gréco-romaine, Montpellier, 1988, I, p. 81-82. S. Cauville, Dendara.
[8] D. Meeks, Les architraves du temple d’Esna (Paléographie hiéroglyphique 1), IFAO, Le Caire, 2004, § 72, p. 29, et p. 249.
[9] W. Spiegelberg, « Die etymologie von p’p’Gebären », dansRecueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes, Varia, LXVI, Le Caire, 1904, p. 47. R.-A. Jean, A.-M. Loyrette, « Clinique obstétricale égyptienne – XXXV . Les accouchements divins, royaux, et humains (1) L’architecture réceptrice. L’iconographie et les représentations (1) Les mammisis », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 8 juin 2019, p. 12-13 et fig. 20 ; — , « Clinique obstétricale égyptienne – XXVII . L’enfant à naître (7) L’environnement de la naissance (2) L’espace médico-magique », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 27mars 2019, p. 3 et 8-9. Nous en reparlerons.
[10] P. Grandet, B. Mathieu, Cours d’égyptien hiéroglyphique, Paris, 1997, p. 671 et 674.
[11] N. Grimal, J. Hallof, D. van der Plas, Hieroglyphica - Sign List, Utrecht - Paris, 2000, 2 C-8.
[12] D. Meeks, op.cit 2004, § 72, p. 29 et p. 249.
[13] B.J.J. Haring, The tomb of Sennedjem (TT1) in Deir El-Medina (Paléographie hiéroglyphique 2), IFAO, Le Caire, 2006, §21, p. 36 et 161.
[14] G. Möller, Hieratische paläographie, Leipzig, 1909, ligne 66, n° 97,13, p. 6.
[15] G. Möller, op.cit 1909, ligne 67, n° 266 h, p. 6.
[16] M.C.Betrò, Hiéroglyphes. Les mystères de l’écriture, Paris, 1995, p. 51.
[17] J.H. Breasted, J. Allen,The Epigraphic Survey, Later Historical Records of Ramses III, Medinet Habu II, University of Chicago Press, 1932, pl. 82, II. 23 et 32.
[18] D. Meeks, op.cit 2004, § 72, p. 29 et p. 249.
[19] D. Meeks, op.cit 2004, § 72, note 2 p. 29.
[20] Voir pour cet objet : W.M.F. Petrie, Roman Portraits and Memphis, IV, BSA, 17, London, 1911, p. 20 et pl. XIV. V. Dasen, « La petite fille et le médecin », dans V. Boudon-Millot, V. Dasen, B. Maire, Femmes en médecine, en l’honneur de Danielle Gourevitch, Paris, 2008, p. 39-59.
[21] Voir aussi : R.-A. JEAN, « Clinique obstétricale égyptienne – XX . Les annexes embryonnaires (8) Le placenta (4) Étude comparative historique », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Paris, 17 septembre 2018, p. 5-6.
OBSTÉTRIQUE
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