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Histoire de la médecine en Egypte ancienne (ISSN 2270-2105)

EGYPTOLOGIE - 1 - Champollion

 

ÉGYPTOLOGIE 

 

Point « d’histoire de la médecine » possible sans les études des cultures correspondantes, de leurs idiomes et de leurs contextes. Cette rubrique sera donc consacrée à l’égyptologie. Elle a pour but de favoriser l’accès à tous de cette science, surtout à partir de ses composantes les plus utiles à la compréhension de la naissance de la pensée médicale en égypte, puis, dans le Moyen Orient.

Aussi, nous aborderons d’abord quelques portraits de personnages célèbres sans les travaux desquels nous serions bien incapables aujourd’hui d’avancer le moindre argument sérieux dans nos recherches. Nous créerons également une sorte de « trousse à instruments historiques » destinée à faciliter la lecture des faits et de leurs interprétations médicales quand celles-ci seront possibles. Bien entendu, un « vocabulaire » sera petit à petit développé pour former un lexique à plusieurs entrées. Des textes historiques, religieux, scientifiques et médicaux seront progressivement présentés à titre d’exemples. Les apparats critiques proposés à chaque fois que cela semblera nécessaire seront toujours accompagnés des définitions en langage clair. Viendront ensuite, en appuis, plusieurs sections iconographiques commentées multidisciplinaires. Certaines de ces données pourront être originales et offrir, déjà, des résultats d’investigations en cours.

De plus, tous les éléments imprimables dans un format acceptant les hiéroglyphes et les tableaux prendront place dans une publication intitulée les « Cahiers Intégrés de Médecine Égyptienne » (CIME) regroupant de façon thématique et souple un maximum d’arguments égyptologiques et techniques, et ceci, de façon accessible aux cliniciens et aux enseignants.

Voici pour inaugurer cette partie, quelques portraits d’égyptologues fondateurs rédigés par Xavier Riaud, et au premier rang desquels, l’illustre Jean-François Champollion, le déchiffreur de hiéroglyphes.

 

Richard-Alain JEAN

 


 

PORTRAITS HISTORIQUES

 

Jean-Francois_Champollion_2

Jean-François Champollion (1790-1832)

toile réalisée en 1831 par Léon Cogniet (Paris, Musée du Louvre, n° inv. 3294).

 

  • Xavier RIAUD, Jean-François Champollion, dans Histoire de la médecine en Egypte ancienne, Cherbourg, 2 avril 2013.

 


 

Jean-François CHAMPOLLION

 

Xavier RIAUD

 

Champollion le Jeune naît le 23 décembre 1790, à Figeac, dans le Lot. La Révolution y bat son plein. Il est baptisé aussitôt né. A 5 ans, Jean-François sait déjà lire. Il est élevé par son grand frère qui part bientôt à Grenoble. Le petit garçon entre à l’école en novembre de cette année-là. Il connaît de sérieuses difficultés en orthographe et en mathématiques. De plus, son mauvais caractère le dessert terriblement. Un précepteur, l’abbé Calmels, lui enseigne des rudiments de latin, de grec et d’histoire naturelle, et, malgré la distance, son frère se soucie énormément de lui[1].

Il quitte Figeac à la fin mars 1801 et rejoint son frère à Grenoble, le 27 mars 1801. Jacques-Joseph prend alors son éducation à sa charge. Dépassé par la tâche, ce dernier remet Jean-François à l’abbé Dussert, enseignant renommé dans cette ville. Il reçoit ses connaissances de novembre 1802 à l’été 1804. Il peaufine son savoir en latin et en grec, et lui fait découvrir l’hébreu, l’arabe, le syriaque et le chaldéen. Passionné, l’adolescent brille dans l’étude de ces langues. En mars 1804, il obtient une bourse qui lui permet d’intégrer le lycée impérial de Grenoble, dont il suit les cours jusqu’en août 1807. Il y est très malheureux, car il se plie mal à la discipline militaire du lycée. En 1807, n’y tenant plus, il quitte l’institution. Il y apprend les langues anciennes pour lesquelles il se passionne[2]. Il aurait rencontré Dom Raphaël de Monachis, moine grec proche de Bonaparte qui a participé à l’expédition d’Egypte. Celui-ci lui aurait démontré que le copte viendrait de l’égyptien ancien. Acharné au travail, il publie le 1er septembre 1807, un Essai de description géographique de l’Egypte avant la conquête de Cambyse qu’il présente à l’Académie des sciences et des arts de Grenoble. Le succès est au rendez-vous et il devient membre correspondant de cette institution. Profondément interpellé, Champollion décide de ne plus se consacrer qu’aux hiéroglyphes. Il quitte Grenoble pour la capitale qui lui offre des perspectives plus intéressantes. Il y arrive le 13 septembre 1807. Après avoir obtenu une petite bourse, il suit les cours de langues orientales au Collège de France et à l’Ecole des langues orientales. Assidu au labeur, il fréquente la Bibliothèque impériale où il se lie d’amitié avec le conservateur du cabinet des antiques, Aubin-Louis Millin. Il remplace, lors de ses absences, Prosper Audran, dont il assure les cours au Collège de France. Grâce à Dom Raphaël de Monachis, il rencontre un prêtre égyptien qui lui apprend le copte[3].

En 1808, il apprend que les hiéroglyphes ont été déchiffrés par Alexandre Lenoir (1761-1839), célèbre archéologue et collectionneur qui a sauvé, des méfaits de la Révolution, de nombreux trésors nationaux, qui vient de publier ses résultats. Vexé, Champollion décide de ne plus se consacrer qu’à la traduction de ces symboles. Il étudie tout d’abord des papyrus en écritures cursives. En 1808, il comprend le principe de ligatures des signes[4].

Au début de l’année 1809, il rédige une grammaire copte et se penche sur le texte démotique de la pierre de Rosette. Il fait table rase de tous les préceptes connus concernant les hiéroglyphes et n’hésite pas à vilipender les autres chercheurs[5].

En juillet 1809, il est nommé professeur-adjoint d’histoire à l’université de Grenoble, grâce à l’intervention du Grand Maître de l’Université impériale, Jean-Pierre Louis de Fontanes. Dans le même temps, son frère est nommé professeur de grec et bibliothécaire-adjoint de la même ville. Le 15 octobre 1809, Champollion entre dans ses nouvelles fonctions officiellement. En 1810, c’est la consécration pour les deux frères qui reçoivent le titre de docteur ès lettres par décret impérial, ce qui correspond au rang de professeur. Le 30 mai 1810, Champollion fait son discours inaugural, prélude à son enseignement. En parallèle, il poursuit ses recherches. 

Dans une communication, le 7 août 1810, à l’Académie delphinale, dont le titre est L’écriture des Egyptiens, il démontre que le démotique est une simplification des hiéroglyphes, comprenant 25 lettres alphabétiques, et que ces mêmes hiéroglyphes constituent une écriture de syllabes ou d’idées[6].

En 1812, il est convaincu d’une chronologie dans les écritures. Il comprend aussi que les vases canopes sont des éléments funéraires contenant des viscères, que les ornements figurant dessus sont liés au jugement des âmes[7].

La première Restauration arrive et rien ne change pour les deux frères. Jean-François publie son Essai sous les pharaons en août 1814 qu’il dédie à Louis XVIII. Au retour de l’Empereur, Napoléon, séduit par les frères Champollion, engage Jacques Joseph comme secrétaire. Grâce à cela, Jean-François fait paraître son Dictionnaire de la langue copte aux frais de l’Etat. Jacques-Joseph accompagne l’Empereur à Paris. Là, il est décoré de la Légion d’honneur. Dans un article en date du 18 juin 1815 paru dans les Annales de l’Isère, Jean-François soutient ouvertement Napoléon[8]. Après la défaite de Waterloo et l’abdication de ce dernier, son dictionnaire est refusé par l’Académie le 17 juillet 1815. Il est ensuite démis de ses fonctions et placé sous surveillance à compter du 28 juillet 1815. La pression étant très forte compte tenu de leur opinion bonapartiste, les deux frères doivent s’exiler à Figeac à partir de mars 1816. Ils y parviennent le 2 avril. Très vite, ils s’y ennuient. Leur père, sous l’emprise de l’alcool, s’est endetté. Jacques-Joseph s’intègre dans la haute société de Figeac où il dispense ses bons mots. Il soutient Jean-François qui est destitué de sa fonction de bibliothécaire. En novembre, Jacques-Joseph est rappelé à Grenoble, ce que Jean-François ne peut faire qu’à partir de janvier 1817. En avril, l’aîné des deux frères part pour Paris. Il reste malgré tout à Figeac pour régler les dettes de son père. Il fait venir son matériel de transcription et poursuit l’écriture de son dictionnaire copte. Le 21 octobre 1817, le jeune homme revient à Grenoble où son retour est fêté. Il y implante, ce qu’il avait fait au préalable à Figeac, une école d’enseignement mutuel, où les grands enseignent aux petits.

Le 18 juin 1818, il réintègre sa fonction de bibliothécaire. En 1819, après avoir longuement étudié les papyri du livre des morts, il est convaincu que les hiératiques sont une simplification des hiéroglyphes. Le 20 mars 1821, il participe à une insurrection et s’en sort in extremis grâce à ses amis. Destitué de ses fonctions de bibliothécaire, il quitte Grenoble le 11 juillet 1821[9].

Cette année-là, il déchiffre ses premiers cartouches royaux : Cléopâtre sur la base d’un obélisque et Ptolémée sur la pierre de Rosette. A partir de détails issus de reproductions des temples d’Abou Simbel, il réussit à lire le cartouche de Ramsès, puis, en 1822, celui de Thoutmosis. En 1822 toujours, il démontre, à l’instar des chercheurs de l’époque, que le zodiaque de Dendérah ne remonte pas au Nouvel Empire et qu’il n’est pas antérieur au déluge décrit par la Bible. Il est chaleureusement remercié par le Pape qui lui offre un cardinalat que Champollion refuse. Le Pape sollicite alors le roi de France pour que lui soit attribué la Légion d’honneur[10].

En 1824, il publie, aux frais de l'Etat, un livre intitulé Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens. L’égyptologie était embryonnaire, elle devient scientifique. Cependant, ses trouvailles suscitent diverses polémiques. Sur la recommandation du Prince d’Orléans, il est missionné pour assurer l’inventaire d’une collection égyptienne appartenant au roi, entreposée à Turin. En 1826, il est nommé conservateur de la collection égyptienne du musée du Louvre. A ce poste, il décide Charles X à acheter plusieurs collections égyptiennes qui viennent grossir celles exposées au musée. C’est lui encore qui fait l’acquisition de l’obélisque du Louxor en 1834, qui sera dressé sur la place de la Concorde en 1836, après avoir été un temps sur le quai cours la Reine (futur cours Albert Ier) [11].

De 1828 à 1830, il part enfin pour cette Egypte qu’il ne connaît pas et dont il rêve tous les jours. Accompagné de son collaborateur et ami, Ippolito Rosellini, il effectue un travail de collecte d’objets monumentale, ceci afin de contrôler que son système hiéroglyphique est bien adapté[12].

Lorsqu’il rentre au pays à la fin de l’année 1829, il est aussitôt mis en quarantaine. Il est malade et son séjour dans un établissement d’isolement qui se révèle très humide ne fait qu’aggraver son état. Après le départ de Charles X, il est élu à l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Il est nommé aussi à une chaire d’Antiquité égyptienne au Collège de France. Son premier cours, qui est un événement, est donné en 1831. Quelques mois plus tard, le 4 mars 1832, il meurt à Paris. Atteint de goutte, de tuberculose et d’une vraisemblable bilharziose contractée en Egypte, il s’est considérablement affaibli. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise. Il a alors 41 ans. Il est considéré comme le père de l’égyptologie[13].

A son décès, les hommages pleuvent et son nom est donné à de nombreux lycées et collèges. De même, à un cratère lunaire.

Il a publié :

L'Égypte sous les Pharaons, 1814 ; Lettre à M. Dacier relative à l’alphabet des hiéroglyphes phonétiques, 1822 ; Panthéon égyptien, collection des personnages mythologiques de l'ancienne Égypte, d'après les monuments, 1823 ; Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens, 1824 ; Lettres à M. le Duc de Blacas d'Aulps, 1826 ; Notice descriptive des monuments égyptiens du musée Charles X, 1827 ; Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens ou Recherches sur les éléments premiers de cette écriture sacrée, sur leurs diverses combinaisons, et sur les rapports de ce système avec les autres méthodes graphiques égyptiennes, 1828 ; Lettres écrites d'Égypte et de Nubie, 1828 ; Grammaire égyptienne, 1836 et Dictionnaire égyptien en écriture hiéroglyphique, 1841[14].

 

[1] Cf. Jacq Christian, Champollion l'Égyptien, Du Rocher (éd.), Monaco, 1987.

[2] Cf. Lacouture Jean, Champollion, Une vie de lumières, Grasset (éd.), Paris, 1988.

[3] Cf. Jacq Christian, 1987.

[4] Cf. Lacouture Jean, 1988.

[5] Cf. Faure Alain, Champollion, le savant déchiffré, Fayard, 2004.

[6] Cf. Jacq Christian, 1987.

[7] Cf. Lacouture Jean, 1988.

[8] Cf. Faure Alain, 2004.

[9] Cf. Jacq Christian, 1987.

[10] Cf. Lacouture Jean, 1988.

[11] Cf. Faure Alain, 2004.

[12] Cf. Lacouture Jean, 1988.

[13] Cf. Jacq Christian, 1987.

[14] Cf. Faure Alain, 2004.

 

Trousse à instruments historiques :

(Xavier RIAUD et Richard-Alain JEAN)

(partie en cours de construction)

1) Bibliographie complémentaire

2) Extraits d'ouvrages

3) Muséologie : La « Pierre de Rosette »

 

Bibliographie complémentaire

 

Pour plus de détails, se reporter également à : Hermine HARTLEBEN, Champollion. Sa vie son œuvre, 1790-1832, Paris, 1983.

 

Extrait de : Jean-François Champollion (1822)

Lettre à M. Dacier relative à l’alphabet des hiéroglyphes phonétiques.

 

pl 1-2 -Jean-François_Champollion_-_Lettre_à_M

Jean-François Champollion, Lettre à M. Dacier relative à l’alphabet des hiéroglyphes phonétiques,

1822, p. 45-47 et pl. I.

 

Planche Ire.

Noms en écriture démotique.

inscription de rosette.

1. ΔΛΚΣANTPΣ (Alexandre).

2. ΠTΛOMHΣ (Ptolémée).

3. APΣHNE (Arsinoé).

4. BRNHKE (Bérénice).

5. AHETOΣ (Aétès).

6. ΠRE (Pyrrha).

7. ΠHΛHNΣ (Philinus).

8. ARHE (Aréia).

9. THEKNΣ (Diogène).

10. TIRENE (Irène).

11. ΣNTKΣΣ (Συνταξις).

12. OYHNN (Ionien, Grec).

papyrus démotique.

13. AΛΚΣNTPOΣ (Alexandre).

14. ΠTΛOMHΣ (Ptolémée).

15. ARΣHN (Arsinoé).

16. BRNHK (Bérénice).

17. KΔOΠTR (Cléopâtre).

18. AΠLONHΣ (Apollonius).

19. ANTHΧOΣ (Antiochus).

20. ANTHKNΣ (Antigone).

Noms et signes hiéroglyphiques.

21. Signe idéographique du genre féminin.

22. ΠTΛOMHΣ (Ptolémée) toujours vivant, chéri de Phtha. (Inscription de Rosette).

23. ΠTΛOMHΣ (Ptolémée) toujours vivant, chéri de Phtha. (Obélisque de Philæ).

23 bis. ΠTΛOMHΣ (Ptolémée), toujours vivant, chéri d’Isis.

24. KΛEOΠATRA (Cléopâtre). Ce nom est suivi des signes idéographiques du genre féminin ; voyez n° 21. Obélisque de Philæ.

25. AΛΚΣANTPΣ (Alexandre le grand). Édifices de Karnac.

26. AΛΚΣNPΣ (Alexandre le grand). Karnac. La lettre T manque entre le N et le P ; cette omission peut venir du sculpteur égyptien même.

27. Caractère hiératique répondant au Σ démotique et hiéroglyphique.

28. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée) ; tiré du texte hiéroglyphique de l'inscription de Rosette.

29. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée), à Dendéra.

30. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée), monolithe de Qous. (Apollinopolis parva.)

31. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée). Le M est exprimé par le nycticorax, espèce de chouette appelée Mouladj en langue égyptienne.

32. BRNHKΣ (Bérénice), suivi des marques idéographiques du genre féminin.

33. BRNHKΣ (Bérénice), gravé comme le précédent, sur la porte triomphale du sud, à Karnac.

34. KΛAΠTRA (Cléopâtre), avec les signes du féminin (voy. n° 21).

35. KΛAOΠTRA (Cléopâtre), avec les mêmes signes.

36. KΛAOΠTRA (Cléopâtre), avec les mêmes signes.

37. KΛOΠTRA (Cléopâtre). Ce nom est suivi des signes du genre féminin et du titre idéographique Déesse, avec une qualification dont les signes sont incomplets.

38 et 39. Groupe hiéroglyphique répondant au mot grec et signifiant aussi surnommé : il est placé constamment entre les noms et les surnoms des rois Lagides. Voyez les nos 40, 41 et 42.

40. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée) surnommé ARKΣNTRΣ (Alexandre) toujours vivant chéri de Phtha.

41. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée) qui est surnommé ARKSNTRΣ (Alexandre), toujours vivant, chéri de Phtha.

42. ΠTOΛMHΣ (Ptolémée) surnommé NHOKHΣRΣ (nouveau César), toujours vivant, chéri d'Isis. Il faut observer que les deux plumes ou feuilles du surnom et qui expriment le son H, sont placées de manière à être prononcées à la fois et après le N et après le K ; on trouvera d'autres exemples de cette disposition de signes particuliers aux systèmes hiéroglyphiques soit phonétique, soit idéographique. (Voyez n° 71.)

43. ΠTOΛMHΣ-KHΣΛΣ (Ptolémée-César), à Dendéra.

 

La « Pierre de Rosette »

 

Rosetta_Stone_BW

Pierre de Rosette (Londres, British Museum, n° inv. EA 24)

cliquer sur le cliché pour zoomer

 

Pour la « Pierre de Rosette », se reporter à :

 

C. ANDREWS, The Rosetta Stone, The British Museum Press, Londres, 1982.

C. ANDREWS, St. QUIRKE, The Rosetta Stone – Facsimile drawing, with an Introduction and Translations, The British Museum Press, Londres, 1988.

R.S. SIMPSON, Demotic grammar in the Ptolemaic Sacerdotal Decrees, Griffith Institute, Ashmolean Museum, Oxford, 1996.

R. PARKINSON, Cracking codes: the Rosetta Stone and decipherment, The British Museum Press, Londres, 1999.

R. PARKINSON, The Rosetta Stone, The British Museum Press, Londres, 2005.

 

 Film scientifique : La pierre de Rosette

 

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